Depuis la signature de l’accord de cessez-le-feu entre le Liban et Israël le 27 novembre 2024, visant à mettre fin à deux mois de combats, des violations israéliennes ont éclaté, menaçant la stabilité fragile de la trêve. En dépit de l’accord, l’armée israélienne a mené plusieurs frappes, dont une attaque sur des infrastructures militaires du Hezbollah près de points de passage frontaliers avec la Syrie, qu’elle accuse de servir au transfert clandestin d’armements. Ces tensions se sont intensifiées avec des frappes sur des véhicules et des tirs d’obus, blessant plusieurs civils, dont un enfant de sept ans à Majdal Zoun.
Les autorités libanaises dénoncent une volonté israélienne de forcer son interprétation de l’accord, notamment en cherchant à garder une liberté d’action militaire au Liban, ce que le pays considère comme une violation de sa souveraineté. Selon l’accord, le retrait israélien du sud du Liban et le retrait du Hezbollah au nord du fleuve Litani sont prévus, mais Israël invoque des garanties annexes signées avec les États-Unis, un document que le Liban ne reconnaît pas.
L’armée libanaise, confrontée à ces violations continues, appelle à un cessez-le-feu durable, tandis que les discussions autour de la mise en œuvre de l’accord se poursuivent sous l’égide des États-Unis et de la France.**Liban : Les Violations Israéliennes Fragilisent l’Accord de Cessez-le-feu**
Depuis la signature de l’accord de cessez-le-feu entre le Liban et Israël le 27 novembre 2024, visant à mettre fin à deux mois de combats, des violations israéliennes ont éclaté, menaçant la stabilité fragile de la trêve. En dépit de l’accord, l’armée israélienne a mené plusieurs frappes, dont une attaque sur des infrastructures militaires du Hezbollah près de points de passage frontaliers avec la Syrie, qu’elle accuse de servir au transfert clandestin d’armements. Ces tensions se sont intensifiées avec des frappes sur des véhicules et des tirs d’obus, blessant plusieurs civils, dont un enfant de sept ans à Majdal Zoun.
Les autorités libanaises dénoncent une volonté israélienne de forcer son interprétation de l’accord, notamment en cherchant à garder une liberté d’action militaire au Liban, ce que le pays considère comme une violation de sa souveraineté. Selon l’accord, le retrait israélien du sud du Liban et le retrait du Hezbollah au nord du fleuve Litani sont prévus, mais Israël invoque des garanties annexes signées avec les États-Unis, un document que le Liban ne reconnaît pas.
L’armée libanaise, confrontée à ces violations continues, appelle à un cessez-le-feu durable, tandis que les discussions autour de la mise en œuvre de l’accord se poursuivent sous l’égide des États-Unis et de la France.